Le Début de l'Épopé
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Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Sam 14 Mai - 12:40
Leoedric posa ses yeux sur la ville en contre bas, Haerrabaen, sa ville natale, qu’il devait désormais quitter pour découvrir le monde, mais surtout, les monstruosités s’y trouvant. Certainement, se serait son dernier regard sur cette ville, il laissait donc son regard capté cette image et marqué au fer rouge ses pensés, pour ne plus jamais oublier ses origines. La ville était en érubescence, la fumée des forges se réunissait en un gros nuage gris-noir au-dessus de la ville, le nuage de la prospérité comme certain le dise. Juste derrière le nuage, dans les contreforts des sommets du monde, la forteresse d’Airin domine la ville. La forteresse semblait installé sur le nuage et flotter au-dessus de la ville, cette vue devait en avoir effrayé plus d’un, la toute puissance du Royaume de Jaanstein, puissance qui venait surtout de leur domination des airs et des métaux, deux chose réunit dans se tableau. Cette vision était splendide et il était content de l’avoir pour ses moments difficiles, il reviendrait, pas qu’il en était certain, mais parce qu’il voulait revenir. Mais se jour, il allait être un Croisé…
Il était resté toute son enfance dans cette petite ville, et pour lui, partir le déchirait, d’autant plus qu’il était partit dans la nuit, pour ne pas faire d’adieu à ses parents, chose qui était fait depuis qu’il avait été décidé qu’il partirait. Cela fessait néanmoins quelque heure, il avait bien fait, voir la vision de sa mère en pleur ne l’aurait pas aider.
Une larme coula sur la joue de Leoedric, qui ne fit rien pour réprimer ses émotions, pour lui, il devait se servir de ses émotions, s’était se qui différenciait le bien du mal. Replacent le foulard noir sur son visage, il se pencha sur sa monture, Leoedric approcha sa bouche de l’oreille de sa monture, une jument noire, pour lui dire quelque mot.
- Va Aaliya, va le plus vite que tu peux, notre voyage sera long et ardu, autant faire le plus de chemin possible et n’oublie jamais nos moments heureux passé ici, nous n’en aurons peut-être plus avant longtemps.
Aaliya semblait comprendre parfaitement les paroles de Leoedric et aurait certainement répondu à celui-ci si elle aurait put, elle se cambra et partit au grand galop sur les plaines du grand Désert Jaanstein. Pendant qu’Aaliya continuait son chemin, Leoedric savait qu’il pouvait réfléchir en paix, il irait à bon port avec sa compagne.
Il avait étudié des cartes de Fendar, il en avait même gardé une pour lui. Les érudits de la famille l’avait informé sur les routes pouvant être pris pour se rendre à Gué-la-Cascade, la forteresse Croisé utilisé pour le recrutement et l’entrainement des personnes voulant rejoindre l’ordre. Le chemin le plus facile et le plus couteux aurait été de voyager en dirigeable, mais il avait vite écarté se chemin, trop facile et sans aventures, il aurait besoin de l’expérience de la route.
Deuxième route possible, passé sous les Monts des Écrins par les routes naines, chemin qu’il considérait peu sûr, même si les relations entre Nain et Jaanstein était cordiale, les deux puissances se vouait une certaine haine, justement à cause de cette puissance. S’il réussissait à traverser, il se retrouverait sur les terres des elfes Sylvestres, un territoire magique et bien gardé, les aventures n’y serait pas abondante. Il continuerait vers l’évêché de Veilla, puis vers Veilla elle-même, à partir de la ville, il n’aurait plus qu’a allé vers Gué-la-Cascade. Un chemin qu’il considérait encore trop facile, sauf pour la portion près des trolls, il ne pouvait prévoir la réaction des Trolls face à un étranger.
Troisième route, passé le Grand Mur de l’Est pour passer par le plateau de Shtaar, puis par les Monts Foudroyés, monts qui lui offrirait certainement plusieurs aventures, cela lui donnerait aussi l’avantage de faire connaissance avec quelque Hobgobelin. Il n’aurait plus qu’a allé vers la Confédération des Cités, ou il pourrait prendre bateau ou dirigeable vers Pyrus, puis vers Gué-la-Cascade. Le voyage par bateau pouvait être considéré comme très dangereux, dû au pirate naviguant dans les eaux tout prêt.
L’une des dernières routes, et celle qu’il avait choisi, se rendre à Timimgham, près du Donjon de Northguard, puis vers le grand mur de l’Ouest ou il pourrait se diriger vers les marches de Jaanstein. En passant tout prêt des Marais de Sudebourde, vers Avsting, il pourrait trouver quelque travail et s’entrainer au combat, combien de temps, s’était à lui de décider. Lorsqu’il serait décidé, il se dirigerait, soit vers Ingvar, puis Vriim pour prendre un bateau vers Occitaar, soit vers le territoire des Orcs, à Drutgar, pour les aider, ainsi que pour aider les Croisé Blancs si il le voulait, et se faire connaitre.
Pour Leoedric, tout dépendait du temps qu’il resterait en Ingvar et comment il serait accueilli. Quoi qu’il en soit, il se dirigeait vers Timimgham pour l’instant, passant pars quelque ville ou village sur sa route, le destin déciderait de la duré de son voyage, mais il ne doutait pas que cela pourrait lui prendre une année, voir deux. En tant que futur Croisé, il allait faire en sorte de semer la Bonté sur son passage et ne refuserait aucune quête. Le salaire, certainement qu’on allait lui en offrir, il se contenterait de se qui pourra être donner, chambre et nourriture avant tout, mais sinon, jamais, jamais il demanderait salaire.
Pour l’instant, il était tranquille sur les terres Jaanstein, les bandits étaient rares, mais les voyageurs nombreux, il pourrait peut-être se trouver des compagnons ou compagnes de routes et d’aventures…
Il était resté toute son enfance dans cette petite ville, et pour lui, partir le déchirait, d’autant plus qu’il était partit dans la nuit, pour ne pas faire d’adieu à ses parents, chose qui était fait depuis qu’il avait été décidé qu’il partirait. Cela fessait néanmoins quelque heure, il avait bien fait, voir la vision de sa mère en pleur ne l’aurait pas aider.
Une larme coula sur la joue de Leoedric, qui ne fit rien pour réprimer ses émotions, pour lui, il devait se servir de ses émotions, s’était se qui différenciait le bien du mal. Replacent le foulard noir sur son visage, il se pencha sur sa monture, Leoedric approcha sa bouche de l’oreille de sa monture, une jument noire, pour lui dire quelque mot.
- Va Aaliya, va le plus vite que tu peux, notre voyage sera long et ardu, autant faire le plus de chemin possible et n’oublie jamais nos moments heureux passé ici, nous n’en aurons peut-être plus avant longtemps.
Aaliya semblait comprendre parfaitement les paroles de Leoedric et aurait certainement répondu à celui-ci si elle aurait put, elle se cambra et partit au grand galop sur les plaines du grand Désert Jaanstein. Pendant qu’Aaliya continuait son chemin, Leoedric savait qu’il pouvait réfléchir en paix, il irait à bon port avec sa compagne.
Il avait étudié des cartes de Fendar, il en avait même gardé une pour lui. Les érudits de la famille l’avait informé sur les routes pouvant être pris pour se rendre à Gué-la-Cascade, la forteresse Croisé utilisé pour le recrutement et l’entrainement des personnes voulant rejoindre l’ordre. Le chemin le plus facile et le plus couteux aurait été de voyager en dirigeable, mais il avait vite écarté se chemin, trop facile et sans aventures, il aurait besoin de l’expérience de la route.
Deuxième route possible, passé sous les Monts des Écrins par les routes naines, chemin qu’il considérait peu sûr, même si les relations entre Nain et Jaanstein était cordiale, les deux puissances se vouait une certaine haine, justement à cause de cette puissance. S’il réussissait à traverser, il se retrouverait sur les terres des elfes Sylvestres, un territoire magique et bien gardé, les aventures n’y serait pas abondante. Il continuerait vers l’évêché de Veilla, puis vers Veilla elle-même, à partir de la ville, il n’aurait plus qu’a allé vers Gué-la-Cascade. Un chemin qu’il considérait encore trop facile, sauf pour la portion près des trolls, il ne pouvait prévoir la réaction des Trolls face à un étranger.
Troisième route, passé le Grand Mur de l’Est pour passer par le plateau de Shtaar, puis par les Monts Foudroyés, monts qui lui offrirait certainement plusieurs aventures, cela lui donnerait aussi l’avantage de faire connaissance avec quelque Hobgobelin. Il n’aurait plus qu’a allé vers la Confédération des Cités, ou il pourrait prendre bateau ou dirigeable vers Pyrus, puis vers Gué-la-Cascade. Le voyage par bateau pouvait être considéré comme très dangereux, dû au pirate naviguant dans les eaux tout prêt.
L’une des dernières routes, et celle qu’il avait choisi, se rendre à Timimgham, près du Donjon de Northguard, puis vers le grand mur de l’Ouest ou il pourrait se diriger vers les marches de Jaanstein. En passant tout prêt des Marais de Sudebourde, vers Avsting, il pourrait trouver quelque travail et s’entrainer au combat, combien de temps, s’était à lui de décider. Lorsqu’il serait décidé, il se dirigerait, soit vers Ingvar, puis Vriim pour prendre un bateau vers Occitaar, soit vers le territoire des Orcs, à Drutgar, pour les aider, ainsi que pour aider les Croisé Blancs si il le voulait, et se faire connaitre.
Pour Leoedric, tout dépendait du temps qu’il resterait en Ingvar et comment il serait accueilli. Quoi qu’il en soit, il se dirigeait vers Timimgham pour l’instant, passant pars quelque ville ou village sur sa route, le destin déciderait de la duré de son voyage, mais il ne doutait pas que cela pourrait lui prendre une année, voir deux. En tant que futur Croisé, il allait faire en sorte de semer la Bonté sur son passage et ne refuserait aucune quête. Le salaire, certainement qu’on allait lui en offrir, il se contenterait de se qui pourra être donner, chambre et nourriture avant tout, mais sinon, jamais, jamais il demanderait salaire.
Pour l’instant, il était tranquille sur les terres Jaanstein, les bandits étaient rares, mais les voyageurs nombreux, il pourrait peut-être se trouver des compagnons ou compagnes de routes et d’aventures…
Leoedric Haerrabaen- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Sam 14 Mai - 20:33
- Liane chevauchait au pas à travers les terres désolées et brulées par les vents chauds de Jaanstein. L'air brulant du milieu de la journée la faisait suer à grosses gouttes. Et malgré le fait qu'elle ne portait plus son armure, et avait fini par enrouler un foulard autour de son visage, elle trouvait décidément la Région insupportable. Même si les paysages du désert étaient magnifiques, la chaleur bouffante, étouffante, et torride qui frappait ces terres l'obligeait, à chaque fois que venait l'heure du repas de midi, à descendre dans les vallons pour se cacher à l'ombre des oliviers et des orangers, et parfois même à s'arrêter pour piquer un somme et récupérer de la fatigue éreintante qui l'avait assaillit toute la matinée.
Elle remontait ensuite vers les hauteurs pour rejoindre la grande route qui avançait clairement beaucoup plus rapidement que les chemins sinueux qui serpentaient au milieu des vallées. Profitant de la douceur du soir, elle avançait encore de plusieurs kilomètres en pleine nuit, pour ne pas être trop ralentie dans son avancée. C'est alors qu'elle remontait justement sur la Grand'Route, à une demi-journée de cheval de la ville de Haerrabaen, qu'elle croisait un cavalier vêtu des tenues traditionnelles Jaansteinoises, avançant au petit trot sur la route. Décidant que son calvaire depuis Vala avait suffisamment durer, elle porta sa monture à sa hauteur et demanda, sur le ton de la conversation :
- [L. Brisbach] Hola cavalier ! Comment réussissez-vous à chevaucher par cette chaleur ?
Liane Brisbach d'Aumont- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Sam 14 Mai - 23:40
Leoedric avait plutôt bien chevauché, habituer à la chaleur, tout comme sa monture, il ne devait pas s’arrêter fréquemment, juste boire quelque fois, de plus, son habit Jaansteinois était conçu pour garder la fraicheur. Avancé dans la Région n’était pas bien difficile, la Grand’Route était parfaitement entretenue, du au nombreux marchand et les villages réguliers permettait de se reposer, même les vergers le permettaient, tant qu’on endommageait rien. La seule chose rare sur les routes de Jaanstein, était les voyageurs, peut se rendait dans le désert, il préférait les autres nations et l’armée Jaansteinoise fessait régner la loi dans le pays, peu de travail était donner un aventurier. Malgré tout, il y avait toujours quelque travaux que même l’armée ne voulait pas faire et il y avait toujours des aventuriers à la tête dur ou molle, il fallait avoir les idées mal tourné pour traverser un désert…
Se fut d’ailleurs un voyageur. Plutôt, une voyageuse qui coupa le fil de ses pensés, elle était venue s’installer aux côtés d’Aaliya, au vue de son accoutrement et surtout, de la sueur qui perlait sur son visage, elle n’était pas des contré Désertique. Seule ses yeux apparaissait, il portait effectivement le foulard pour se protéger de la poussière et des vents souvent traitre. De ses yeux bruns, il regardait l’inconnu, malgré son voyage dans le désert et le piteux état ou elle se trouvait, elle devait venir du Nord et elle gardait un la tête haute, surement une haute naissance. Il était rare de voir des gens du Nord aussi au Sud, mais pour Leoedric, cela représentait une formidable occasion, il devait justement se rendre au Nord.
- Par habitude et par des moyens connus de mon peuple.
Les deux chevaux continuaient leur route, n’ayant nullement besoin d’être conduit par leur maitre, la conversation pouvait donc durer bien longtemps.
- Pour une personne du Nord, je peu comprendre que le Désert soit un véritable calvaire, tout comme pour une personne du Sud au Nord.
Leoedric allait devenir un Paladin Croisé, alors, autant commencé à promouvoir le bien et laisser de la bonté autour de lui.
- Si vous voyagez longtemps sur cette route, je vais vous apprendre quelque moyen, mais la chaleur restera, votre corps y est peu habituer.
Les yeux brun entouré de khôl de Leoedric regardait l’inconnue.
Se fut d’ailleurs un voyageur. Plutôt, une voyageuse qui coupa le fil de ses pensés, elle était venue s’installer aux côtés d’Aaliya, au vue de son accoutrement et surtout, de la sueur qui perlait sur son visage, elle n’était pas des contré Désertique. Seule ses yeux apparaissait, il portait effectivement le foulard pour se protéger de la poussière et des vents souvent traitre. De ses yeux bruns, il regardait l’inconnu, malgré son voyage dans le désert et le piteux état ou elle se trouvait, elle devait venir du Nord et elle gardait un la tête haute, surement une haute naissance. Il était rare de voir des gens du Nord aussi au Sud, mais pour Leoedric, cela représentait une formidable occasion, il devait justement se rendre au Nord.
- Par habitude et par des moyens connus de mon peuple.
Les deux chevaux continuaient leur route, n’ayant nullement besoin d’être conduit par leur maitre, la conversation pouvait donc durer bien longtemps.
- Pour une personne du Nord, je peu comprendre que le Désert soit un véritable calvaire, tout comme pour une personne du Sud au Nord.
Leoedric allait devenir un Paladin Croisé, alors, autant commencé à promouvoir le bien et laisser de la bonté autour de lui.
- Si vous voyagez longtemps sur cette route, je vais vous apprendre quelque moyen, mais la chaleur restera, votre corps y est peu habituer.
Les yeux brun entouré de khôl de Leoedric regardait l’inconnue.
Leoedric Haerrabaen- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Dim 15 Mai - 2:39
- [L. Brisbach] Des Nouvelles ma foi peu réjouissantes, répondit Liane, morose.
- [L. Brisbach] Pour répondre à votre question, je crois que je vais suivre cette route pendant plusieurs semaines encore. Je me rend en Ingvar, afin de voir si ma lame ne peut pas servir à quelque mission pour le compte du Roi. Il est plus agréable de voyager à deux, faisons donc un bout de chemin ensemble si vous le permettez.
- [L. Brisbach] On dit que la ville de Neithem est tombée aux mains des ennemis du Roi. Je ne pense pas avoir l'entrainement requis pour combattre avec ses armées sur le champ de bataille, mais ses connétables seront surement heureux de trouver quelques bras en plus pour mener des tâches d'arrière garde qui leur permettrait d'engager plus de troupes sur le front ...
- [L. Brisbach] Et vous ? Ou vous rendez-vous ?
Liane Brisbach d'Aumont- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Dim 15 Mai - 2:56
Leoedric lui montra quelque manière pour garder la fraicheur, la meilleur technique étant d’avoir le plus de couche possible de tissu mince, pour permettre à la fraicheur de rester entre chaque couche, sans cuire. Se protéger de la chaleur était facile pour un Jaansteinois, pour une étrangère, s’était tout autre.
- Je dois vous avouer que peu de nouvelle traverse les Marches et je suis originaire d’un comté trop éloigné de la Capitale pour voir bien souvent des voyageurs. Avoir des nouvelles de se qui se passe me permettra de suivre mon chemin de la meilleur des façons.
Leoedric se tut, il hésita, devait-il parler de tout ou garder certaine information pour lui, la voie des Croisé et du bien n’était pas toujours facile à gérer et difficile, était la prise de décision face à une inconnue. Certes, il allait voyager un certain ensemble, se qui était mieux, même si les routes étaient sûr, il y avait toujours quelque pillard et deux personnes étaient plus en sécurité, qu’une seule.
- Je vais aller vers les Marches, en Ingvar peut-être, ensuite, ou chez les orcs, pour proposer ma masse à qui le veut. Je vais chercher le plus de quête possible, pour affiner ma technique de combat, pour me faire des relations, avant ma destination final...
Il laissa un moment de silence flotter, sa destination finale, en dirait beaucoup sur lui…
- Au final, mes pas vont me porter à Gué-la-Cascade.
Il regarda sa compagne de route, il n’était effectivement pas difficile de savoir pourquoi il se rendait chez les Croisés, quoi d’autre que de se joindre à eux?
- Je dois vous avouer que peu de nouvelle traverse les Marches et je suis originaire d’un comté trop éloigné de la Capitale pour voir bien souvent des voyageurs. Avoir des nouvelles de se qui se passe me permettra de suivre mon chemin de la meilleur des façons.
Leoedric se tut, il hésita, devait-il parler de tout ou garder certaine information pour lui, la voie des Croisé et du bien n’était pas toujours facile à gérer et difficile, était la prise de décision face à une inconnue. Certes, il allait voyager un certain ensemble, se qui était mieux, même si les routes étaient sûr, il y avait toujours quelque pillard et deux personnes étaient plus en sécurité, qu’une seule.
- Je vais aller vers les Marches, en Ingvar peut-être, ensuite, ou chez les orcs, pour proposer ma masse à qui le veut. Je vais chercher le plus de quête possible, pour affiner ma technique de combat, pour me faire des relations, avant ma destination final...
Il laissa un moment de silence flotter, sa destination finale, en dirait beaucoup sur lui…
- Au final, mes pas vont me porter à Gué-la-Cascade.
Il regarda sa compagne de route, il n’était effectivement pas difficile de savoir pourquoi il se rendait chez les Croisés, quoi d’autre que de se joindre à eux?
Leoedric Haerrabaen- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Dim 15 Mai - 13:07
HJ : Il est midi passé : une semaine InGame = 3 jours IRL. Il faut une semaine pour traverser un compté à pied, donc une demi-semaine pour le traverser à cheval, soit 1,5 Jours IRL. Nous voici donc en Northguard. Je te laisse raconter ce dont nous avons parler 
.
.- Liane retînt son sourire lorsque l'autre évoqua les Croisés. Elle ne faisait pas partie de ceux qui croyaient en leur combat. Kastaanaise jusqu'au bout des ongles, elle se battait d'abord pour le peuple de Kastaan, et elle défendait à quiconque de prétendre que cette cause était terre à terre. La Bourgeoisie d'Epée, dans le Royaume, était encore la seule à se soucier réellement des besoins de son peuple. Les autres étaient accaparés à des dépenses exorbitantes pour soutenir leurs alliés dans leur quête de guerre juste, construire une flotte pour rivaliser avec les Elfes et les Halfelins (alors que Liane savait que cela ne serrait jamais que l'affaire de quelques courtes années), ou encore entamer un grand programme de fouille à l’échelle de Fendar tout entier, pour trouver de vieilles ruines antiques. Et pendant ce temps là, tout l'Automne, les centaures avaient assaillit les comtés frontaliers de Jalanaar et des monts des Limes, tout ça parce que les Seigneurs considéraient des combats plus "importants". La Bourgeoisie d'Epée s'était emparée du problème, et elle portait, seule et à bout de bras, ce dernier à la cour royale, en demandant des fonds pour envoyer leurs troupes contre les Centaures ...
La route des deux compagnons se poursuivit ainsi plusieurs jours durant. Bientôt, les paysages changèrent autour d'eux, et des vallées enchaînant les pics, ils passèrent aux contreforts raides et pentues du mont des écrins. La route serpentait alors à plus de deux mille mètres d'altitude, loin au dessus des montagnes du massif de Jaanstein. Ici, les deux compagnons se trouvaient au milieux d'un petit maquis méditerranéen, ou parfois dépassaient les cyprès et les arbres aux petites feuilles vertes clair, presque jaunes, typiques de ces régions. Plus haut, commençaient les Alpages ou se trouvait le Royaume des Nains. De ce côté-ci de la montagne, Jaanstein contrôlait en effet une grande partie du versant de cette dernière. La Frontière étant marquée par une ligne de crêtes de laquelle ils étaient loin encore.
Sur la route, il n'était hélas, pas toujours possible de passer des nuits au chaud dans les Caravanserail qui parsemaient les routes commerciales de la Coalition, car hélas, le comté de Northguard n'était pas non plus un grand pôle commercial. C'était plutôt un comté frontalier, militaire, et relativement peu peuplé.
Liane Brisbach d'Aumont- Paysan
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Lun 16 Mai - 0:50
Une demi-semaine était passé depuis leur première rencontre tout près de sa ville natale, les Airins avait laissé place à Northguard, la puissante forteresse protégeant le Nord contre les incursions Naines. Les deux voyageurs étaient resté deux voyageurs, d’un accord non-verbal, il ne posait aucune question sur leur passé et en disait peu l’un sur l’autre, il ne fessait que le voyage sur la même route, en même temps. Cela n’empêchait pas les deux aventuriers à parler quelque peu d’eux, discutions qui tournait surtout autour des armes et leur compétences. Liane, car il avait finit par se dire leur prénom à chacun, quoi que la jeune fille préférait le nommer Léo, n’avait pas prit de temps pour remarquer qu’il ne portait pas seulement l’épée et l’écu sur lui, une lourde Masse d’Arme à deux mains se trouvaient attaché à sa selle et ne s’éloignait guère de lui.
Ils se trouvaient, maintenant, tout deux, à la limite de deux comtés, il avait traversé le Comté de la barrière d’Airain assez facilement. Passant de Caravanserail à arbre selon se qu’il trouvait pour se reposer, voyageant surtout de la lune haute, au soleil haut, pour avoir la température parfaite. Le désert était reconnu pour être chaud le jour et froid la nuit, les couvertures de fourrures n’étaient pas de trop. Liane reçut quelque leçon de Leo pour garder la fraicheur et sur les moyens de traverser le désert au mieux, en échange, Liane lui parla du Nord, la ou Leo allait se rendre, une contré au froid beaucoup plus mordant.
Même si il restait deux voyageurs, il avait finit par aimer attendre les sabots du cheval de la jeune fille et il avait beaucoup en commun, tout deux étaient jeunes et avait encore toute la vie devant eux, mais avait décidé de prendre la route.
- Nous sommes dans le comté de Northguard, la forteresse se trouve dans ses montagnes.
Leoedric indiqua les hautes montagnes qui indiquaient le royaume des Nains.
- Une partie de la montagne appartient à Jaanstein, nous pourrions nous arrêter à Timimgham, à une journée de marche dans la vallée. S’est une cité industrielle et minière, nous pourrons y trouver un Caravanserail meilleur que les autres, la cité accueille beaucoup de marchand. Probable que nous puissions avoir des nouvelles de l’extérieur, nous approchons du Grand Mur de l’Ouest, peut-être il saura aussi possible de trouver du travail, je ne sais pas pour vous, mais ma main d’armes me démange.
Ils avaient fait quelque passe d’arme à leur dernier arrêt, Épée Longue contre Masse d’Arme, mais les deux aventuriers n’avaient pas assez d’expérience ou de maitrise pour faire un combat digne d’une chanson. Cela avait néanmoins plus à Leoedric, combattre, se délier les muscles, faire autre chose que chevaucher, sa changeait du quotidien et sa réveillait les muscles du corps. Leoedric s’était réveiller avec quelque courbature, il fallait dire que sa Masse d’Arme n’était pas dès plus légèreté, comme l’avait remarqué Liane lorsque celle-ci parait les coups de Leo.
D’autant plus que cette ville est la dernière avant la Grande Muraille et que les Marches sont en phase de colonisation, peu de véritable village existe. Autant en profiter immédiatement et prendre un bon repas et un bon lit, pour avoir de bon souvenir lorsque nous devrons dormir à la belle étoile.
Leoedric eut un léger sourire, que Liane put voir, celui-ci avait enlevé sont voile, elle avait put voir son visage quelque fois.
Ils se trouvaient, maintenant, tout deux, à la limite de deux comtés, il avait traversé le Comté de la barrière d’Airain assez facilement. Passant de Caravanserail à arbre selon se qu’il trouvait pour se reposer, voyageant surtout de la lune haute, au soleil haut, pour avoir la température parfaite. Le désert était reconnu pour être chaud le jour et froid la nuit, les couvertures de fourrures n’étaient pas de trop. Liane reçut quelque leçon de Leo pour garder la fraicheur et sur les moyens de traverser le désert au mieux, en échange, Liane lui parla du Nord, la ou Leo allait se rendre, une contré au froid beaucoup plus mordant.
Même si il restait deux voyageurs, il avait finit par aimer attendre les sabots du cheval de la jeune fille et il avait beaucoup en commun, tout deux étaient jeunes et avait encore toute la vie devant eux, mais avait décidé de prendre la route.
- Nous sommes dans le comté de Northguard, la forteresse se trouve dans ses montagnes.
Leoedric indiqua les hautes montagnes qui indiquaient le royaume des Nains.
- Une partie de la montagne appartient à Jaanstein, nous pourrions nous arrêter à Timimgham, à une journée de marche dans la vallée. S’est une cité industrielle et minière, nous pourrons y trouver un Caravanserail meilleur que les autres, la cité accueille beaucoup de marchand. Probable que nous puissions avoir des nouvelles de l’extérieur, nous approchons du Grand Mur de l’Ouest, peut-être il saura aussi possible de trouver du travail, je ne sais pas pour vous, mais ma main d’armes me démange.
Ils avaient fait quelque passe d’arme à leur dernier arrêt, Épée Longue contre Masse d’Arme, mais les deux aventuriers n’avaient pas assez d’expérience ou de maitrise pour faire un combat digne d’une chanson. Cela avait néanmoins plus à Leoedric, combattre, se délier les muscles, faire autre chose que chevaucher, sa changeait du quotidien et sa réveillait les muscles du corps. Leoedric s’était réveiller avec quelque courbature, il fallait dire que sa Masse d’Arme n’était pas dès plus légèreté, comme l’avait remarqué Liane lorsque celle-ci parait les coups de Leo.
D’autant plus que cette ville est la dernière avant la Grande Muraille et que les Marches sont en phase de colonisation, peu de véritable village existe. Autant en profiter immédiatement et prendre un bon repas et un bon lit, pour avoir de bon souvenir lorsque nous devrons dormir à la belle étoile.
Leoedric eut un léger sourire, que Liane put voir, celui-ci avait enlevé sont voile, elle avait put voir son visage quelque fois.
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Lun 16 Mai - 2:07
- [L. Brisbach] Je fais confiance au connaisseur.
Liane et Leoedric arrivèrent relativement tard à la Taverne. En effet, se sachant à une demi-journée de marche de Timimgham, ils avaient décidé, d'un commun accord, de continuer leur route l'après midi. Qui plus est, à cette heure de l'après-midi, la température était autrement plus supportable. Alors qu'elle cherchait une table ou s'installer, Liane laissa le soin au Paladin de réserver deux chambres (pas question de n'en réserver qu'une) et fit mettre leurs chevaux à l'écurie - non sans savoir que les coûts deviendraient rapidement prohibitif, mais elle en avait assez de poser sa paillasse au coin du feu pour dormir ou de se vautrer dans une couverture de fourrure à la belle étoile. Un bon lit ne lui ferrait pas de mal après cette longue chevauchée.
L'ensemble étant fait, et les deux plats du jour étant commandés (Liane préféra éviter de regarder le montant de l’addition), tout deux s'installèrent à une table et prirent leurs rations. A côté d'eux, une caravane de marchands discutaient allégrement, et vivement semblait-il. Une histoire de Kobolds dans les montagnes voisines et d'une garde trop occupée avec la défense de la forteresse pour s'en occuper. Liane tendit l'oreille.
- [Marchand] ... proprement incroyable ! Ma cargaison vient de disparaitre, je perds 4500 pièces d'or au change, trois de mes meilleurs hommes et le capitaine me répond qu'il est trop occupé et que ce sont mes deniers qui devront être pris pour payer des mercenaires. Qu'est donc devenu ce pays ?
[Marchand] Bah, ça peut se comprendre ! Avec les agitations des Ingvariens à la frontière, crois-moi ils ont autre chose à faire.
[Marchand] Ouais ! Hommes-Lézards tu parles. C'est encore un de leurs coups moisis pour accroitre l'influence de leur roitelet de pacotille.
[Marchand] Je me contrefout des Hommes Lézard ! La Guilde vient de perdre sa commission de dix pour cent et c'est tout ce que ça vous fait ? Qu'on lève donc une compagnie pour régler la question !
- [L. Brisbach] Et si on leur faisait payer les frais ?
HJ : Petit Calcul du coût du voyage (deux nuits à la belle étoile, une en posant sa paillasse dans un caravansérails : 3 Écus de cuivre chacun. Et le coût de la nuit au Caravansérail ici :
- Repas : 5 Livres d'Argent
- Chope de Bière à l'Orange de Jaanstein : 2 Livres d'argent
- Chambre : 3 Ducats d'or
- Gardiennage des montures : 5 Écus de cuivre
- Consommation de 3 Rations de Survie pour une journée
Total : 3 Ducats d'or, 7 Livres d'Argent, 8 Écus de Cuivre
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Lun 16 Mai - 2:39
Le montant allait effectivement avec la nuit et le repas, mais après avoir traverser la moitié du pays, un bon repas et un bon lit, donnait toujours de la chaleur au cœur et au corps. D’autant plus que le voyage jusqu’en Ingvar était d’autant plus long et laborieux, mais surtout, beaucoup plus dangereux.
Il écouta les marchands d’une oreille discrète, la vie privé était assez respecter, mais cela ne voulait pas dire que Leoedric ne connaissait pas des moyens d’entendre tout se qui se disait. Il avait apprit quelque technique, certes, il n’était pas un maitre, mais s’était toujours utile en Jaanstein, les assassins n’étaient pas rare et souvent envoyer chez un autre clan.
- Le voyage, pour l’instant, ne nous a pas couté très chère.
Il fit mine de compter un peu.
Mais nous allons avoir besoin de ration pour le reste du voyage, qui sera grandement plus long, nous devons éviter les marais, se qui nous rallongera. Nous faire de l’argent sera grandement utile.
Il souriait à Liane et prit une bouché.
Au prix de la cargaison, nous pourrons récolter un bon montant, mais se sera à toi de négocier, j’ai décidé dès le début de mon voyage de commencer les enseignements Croisé que tous connaissent. Te trompe pas néanmoins, chacun notre part après les négociations et fait très attention, se sont des marchands née, j’en doute aucunement.
Il avait un sourire énigmatique.
Il écouta les marchands d’une oreille discrète, la vie privé était assez respecter, mais cela ne voulait pas dire que Leoedric ne connaissait pas des moyens d’entendre tout se qui se disait. Il avait apprit quelque technique, certes, il n’était pas un maitre, mais s’était toujours utile en Jaanstein, les assassins n’étaient pas rare et souvent envoyer chez un autre clan.
- Le voyage, pour l’instant, ne nous a pas couté très chère.
Il fit mine de compter un peu.
Mais nous allons avoir besoin de ration pour le reste du voyage, qui sera grandement plus long, nous devons éviter les marais, se qui nous rallongera. Nous faire de l’argent sera grandement utile.
Il souriait à Liane et prit une bouché.
Au prix de la cargaison, nous pourrons récolter un bon montant, mais se sera à toi de négocier, j’ai décidé dès le début de mon voyage de commencer les enseignements Croisé que tous connaissent. Te trompe pas néanmoins, chacun notre part après les négociations et fait très attention, se sont des marchands née, j’en doute aucunement.
Il avait un sourire énigmatique.
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Lun 16 Mai - 13:53
- Liane leva les yeux au ciel. Ils ne pouvaient pas discuter entre Locaux non ? Ils auraient eut de bien meilleurs termes dans ces conditions. Elle se leva et se porta à hauteur des Marchands. Posant les poing sur la table, elle leur lança à la volée :
- [L. Brisbach] Besoin des Services de mercenaires ?
- [Marchand] C'est une manière bien cavalière d'aborder les gens Mademoiselle.
- [L. Brisbach] Bien, j'ai du me tromper.
- [L. Brisbach] Vous changez vite d'avis.
[Marchand] Ne jouez pas à ce petit jeu avec moi. Je peux très bien trouvé quelqu'un d'autre.
[L. Brisbach] Comme des ouvriers ? répondit Liane en haussant un sourcil.
- [L. Brisbach] J'ai crut comprendre que vous aviez un problème de Kobold ?
- [Marchand] Une cargaison en provenance des Marches n'est jamais arrivée à Timimgham. Plusieurs voyageurs, sur les routes m'ont signalé la présence d'un repaire de Kobold à une journée de cheval de Timimgham. Elle est un peu excentrée et se trouve dans les hauteurs, au dessus de la route. Je vous donne dix pour cent de la commission de la guilde, soit 45 Ducats chacun si vous nous en débarrassez.
- [L. Brisbach] Pour 45 Pièces d'or, je peux aller voir ce qu'il en est et vous dire combien ils sont.
[Marchand] Pardon ?
[L. Brisbach] Nous voulons vos 45 Ducats, plus une commission de cinq pièces d'or par Kobold dont nous ramenons la preuve de la mort. Et une autre prime de 45 pièces d'or pour la cargaison si nous la ramenons.
[Marchand] Mais c'est du vol ! S'indigna-t-il.
[L. Brisbach] Vous connaissez les lois du Monopole. Je peux me le permettre.
- [Marchand] 45 Ducat chacun, plus 30 ducats pour la cargaison, et pour tout les deux, et 5 Livres d'argent par têtes de Kobold que vous nous ramener.
[L. Brisbach] Deux ducats la tête.
[Marchand] Un seul.
[L. Brisbach] Tope-là.
- [Marchand] J'espère qu'à ce prix vous avez de l'expérience. Nous vous paierons à votre retour.
[L. Brisbach] Et n'oubliez pas de prévoir quelque pièces en plus pour les frais.
[Marchand] Quels frais ? Hors de question que je vous paye des frais.
[L. Brisbach] Je plaisantais. Bon elle consistait en quoi cette cargaison.
[Marchand] En du grain, quatre chariots, tirés par deux bœufs chacun. J'aimerai beaucoup retrouver mes bêtes vivantes si ça ne vous dérange pas.
[L. Brisbach] Nous aussi, mon compagnon est fort, mais pas suffisamment pour tirer quatre chariots pleins de grain pendant une demi-journée. Rendez-vous ici, à la nuit tombée, dans trois jours. Et pas de retard, sinon je vends votre blé au plus offrant. 4500 Pièces d'Or, c'est mieux qu'une centaine.
- [L. Brisbach] Nous aurions eut le double si vous aviez négocier. Je suis peut-être fille de Marchand, mais je suis étrangère. Et s'il y a bien un truc que je sais, c'est que les Jaansteinois sont particulièrement doués à l'art du marchandage et qu'ils sont toujours moins conciliants avec les étrangers.
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Mar 17 Mai - 1:41
Leoedric avait suivi la négociation durant tout le long, prenant note que le Marchand prenait garde de ne pas le regarder, il devait connaitre les Haerrabaen. Il avait pensé pouvoir partir avant de son pays avant que ses compatriotes ne le considèrent comme un traître, mais finalement, les paroles et rumeurs allaient plus vite que lui…
Il écouta les doléances de la jeune fille, mais resta muet un certain temps, mangeant simplement, il y avait un mur autour de lui désormais. Il se décida finalement à lui répondre.
- Je n’aurais jamais put négocier, le Marchand ne ma jamais regarder, tu as remarqué?
Il hésitait à dire tout se qui le concernait.
- Sache simplement que je n’ai pas choisi de partir de ma ville natale, j’y es été forcé, j’aurais eu une belle vie, prenant la place de mon père à temps que forgeron, une femme certainement et je serais mort en Haerrabaen. Maintenant, même mon peuple répugne à me voir, pour une histoire qui fait partie du passé et dont je suis embarqué sans le vouloir…
Il en avait trop dit, il le savait bien, mais il éprouvait un bien fou à en parler, partager sa peine et sa frustration et personne d’autre que la jeune fille était assez proche de lui pour pouvoir recevoir ses dires. Elle était hautaine, il l’avait senti dès le début, une enfant de noble, elle se croyait meilleur que beaucoup d’autre et les prenaient de haut, s’était peu arrivé depuis leur rencontre et s’en était que mieux. Les nobles n’avaient pas vraiment de présence en Jaanstein.
Dire son nom de clan, voila une erreur, une personne comme elle devait certainement savoir qui était le clan Haerrabaen, l’un des plus fameux clans Jaansteinois, mais qui n’avait jamais cherché cette gloire.
Il se calma quelque peu, terminant son repas.
- Tu as fort bien négocié.
Il connaissait le négoce depuis son plus jeune âge, s’était la base de la culture Jaansteinois après tout, seul les Halfelins étaient meilleur.
- Nous n’avions pas besoin de beaucoup et cette somme sera bien suffisante pour les vivres ou quoi que se soit d’autre, nous sommes en Jaanstein, si tu veux en profiter pour t’acheter une arme ou une armure, s’est le temps, la ville en regorge et les prix sont beaucoup plus bas ici qu’ailleurs.
Il soupira.
- Il y avait une autre raison pour laquelle je souhaitais que tu négocie, bous avons tout deux une aventure à mener, tu es présentement dans un pays de négociant. S’était l’un de tes apprentissages dans ton aventure, je t’ai appris comment traverser un désert, le marchand t’a montré comment le négoce peu être dur, mais surtout, comment on peu vite se croire puissant.
Il la regarda.
Oui, j’ai remarqué durant la conversation que tu t’es senti supérieur, pour notre chance, tu n’es pas allé trop loin. L’Armée rechigne à intervenir contre les Kobolds, mais le marchand pourrait fort bien faire venir la garde pour nous arrêtez et il ne rechignerait aucunement. Il ne semblait pas trop affecter par tes paroles. Il est probable qu’il va falloir que tu règle se léger problème un jour, tu es trop hautaine et en Jaanstein, les nobles n’existent, nous gagnons à la sueur de notre front le droit d’être hautain.
Il prit ses effets.
Nous allons avoir du Kobold à tuer, autant aller profiter de notre lit.
Il écouta les doléances de la jeune fille, mais resta muet un certain temps, mangeant simplement, il y avait un mur autour de lui désormais. Il se décida finalement à lui répondre.
- Je n’aurais jamais put négocier, le Marchand ne ma jamais regarder, tu as remarqué?
Il hésitait à dire tout se qui le concernait.
- Sache simplement que je n’ai pas choisi de partir de ma ville natale, j’y es été forcé, j’aurais eu une belle vie, prenant la place de mon père à temps que forgeron, une femme certainement et je serais mort en Haerrabaen. Maintenant, même mon peuple répugne à me voir, pour une histoire qui fait partie du passé et dont je suis embarqué sans le vouloir…
Il en avait trop dit, il le savait bien, mais il éprouvait un bien fou à en parler, partager sa peine et sa frustration et personne d’autre que la jeune fille était assez proche de lui pour pouvoir recevoir ses dires. Elle était hautaine, il l’avait senti dès le début, une enfant de noble, elle se croyait meilleur que beaucoup d’autre et les prenaient de haut, s’était peu arrivé depuis leur rencontre et s’en était que mieux. Les nobles n’avaient pas vraiment de présence en Jaanstein.
Dire son nom de clan, voila une erreur, une personne comme elle devait certainement savoir qui était le clan Haerrabaen, l’un des plus fameux clans Jaansteinois, mais qui n’avait jamais cherché cette gloire.
Il se calma quelque peu, terminant son repas.
- Tu as fort bien négocié.
Il connaissait le négoce depuis son plus jeune âge, s’était la base de la culture Jaansteinois après tout, seul les Halfelins étaient meilleur.
- Nous n’avions pas besoin de beaucoup et cette somme sera bien suffisante pour les vivres ou quoi que se soit d’autre, nous sommes en Jaanstein, si tu veux en profiter pour t’acheter une arme ou une armure, s’est le temps, la ville en regorge et les prix sont beaucoup plus bas ici qu’ailleurs.
Il soupira.
- Il y avait une autre raison pour laquelle je souhaitais que tu négocie, bous avons tout deux une aventure à mener, tu es présentement dans un pays de négociant. S’était l’un de tes apprentissages dans ton aventure, je t’ai appris comment traverser un désert, le marchand t’a montré comment le négoce peu être dur, mais surtout, comment on peu vite se croire puissant.
Il la regarda.
Oui, j’ai remarqué durant la conversation que tu t’es senti supérieur, pour notre chance, tu n’es pas allé trop loin. L’Armée rechigne à intervenir contre les Kobolds, mais le marchand pourrait fort bien faire venir la garde pour nous arrêtez et il ne rechignerait aucunement. Il ne semblait pas trop affecter par tes paroles. Il est probable qu’il va falloir que tu règle se léger problème un jour, tu es trop hautaine et en Jaanstein, les nobles n’existent, nous gagnons à la sueur de notre front le droit d’être hautain.
Il prit ses effets.
Nous allons avoir du Kobold à tuer, autant aller profiter de notre lit.
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Mar 17 Mai - 10:06
- Terminant à son tour son repas, la jeune fille ne leva pas les yeux en direction du Jaansteinois. Elle termina son verre, et en le reposant, se contenta de déclarer :
- [L. Brisbach] Je ne me souviens pas vous avoir autorisé à me tutoyer. Et je ne me souviens pas m'avoir demander d'assurer une "formation" à mon égard. En Kastaan, vous seriez insultant à l'égard de n'importe qui.
De quel droit pouvait-on prétendre donner des leçons à quelqu'un qu'on ne connaissait pas ? Liane était Kastaanaise. Elle était née dans le Royaume ou les sociétés d'ordre prenaient tout leur sens. Elle était fille de la Bourgeoisie d'Epée qui plus est. Donc issue du Tiers-Etat, d'une famille qui n'avait pris sa place qu'au prix de sa sueur, de son travail, et aujourd'hui, au prix de son sang, sans jamais recevoir la reconnaissance qui devait accompagner sa place. Elle n'avait pas de leçons à recevoir d'un Nobliau Jaansteinois, un peu trop fier de son pays parce qu'aujourd'hui ils étaient les plus forts. Le Marchandage était son métier, elle y était née, y avait été bercée. Et aujourd'hui, elle avait négocié dans la plus pure tradition de son pays. Et d'ailleurs, il ne faisait aucun doute en cet instant, que le Marchand Jaansteinois avait parfaitement compris qu'il avait affaire à une Kaastaine. C'est aussi pour cela qu'elle ne voulait pas négocier.
Elle inspira une dernière bouffée avant de retourner sa pipe pour la vider. Elle prit alors la route de son lit et s'effondra tout d'un bloc. La route, ça fatigue.
Lorsqu'elle quitta sa chambre le lendemain, il était encore très tôt : quatre heures du matin à peine. Le soleil n'avait pas commencer à poindre, mais l'habitude accumulée par des jours et des jours de voyage compensait cela. Elle prit une miche de pain, une pomme et un verre de jus d'orange dans le salon et s'acquitta du reste de son addition avant d'aller mettre sa monture en selle. Debout, dans la cour, à côté de Maximilian, elle serrait les mords de sa monture lorsque Haerrabaen sortit enfin de sa torpeur matinale.
- [L. Brisbach] Dépêchez-vous, dit-elle froidement. Je vous attends depuis vingt minutes.
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Re: Le Début de l'Épopé
Leoedric Haerrabaen Mer 18 Mai - 10:18
Il laissa la jeune fille partir et la suivit quelque minute plus tard, pour se rendre à sa propre chambre, il ressemblait à un chien battu et rien n’était aussi proche de la vérité à vrai dire. Il se laissa tomber sur son lit, ses effets ressemblant à une petite montagne au milieu de la petite pièce du Caravansérail, étendu sur le lui, il était incapable de dormir.
Avait-il bien fait de parler comme il l’avait fait? Selon la jeune fille, non, mais pour lui, cela avait été une façon de se libérer. Lui dire la vérité lui avait fait un bien fou, mais avait heurté la jeune Kastaanaise, parce que elle ne se rendait pas compte de se qu’elle était, ou parce qu’elle s’en rendait compte? Des questions auxquels il n’aurait aucune réponse, probablement…
Est-ce que la bonté passait par cette voie, dire la vérité dans un monde ou la vérité est tue, heurter l’âme des hommes, la chose la plus fragile qu’il avait et s’en faire des ennemies? Décidément, il aurait mieux fait de rester à son premier plan, se suicider simplement, cela démontrerais certainement sa lâcheté, mais le libèrerais, à quoi bon continuer. La soif d’aventure, il n’en avait pas vraiment, découvrir de nouvelle ville, paysage, terre, non plus. Il avait été forcé de partir, il ne l’avait jamais voulu, contrairement à cette petite noble hautaine, il devait accepter le fait de devoir vivre comme un miséreux, ou plutôt, comme un mercenaire, peut-être aimerait-il cette vie au final.
La tutoyer, et puis quoi encore? Cela fessait quelque jour qu’il chevauchait ensemble et elle ne semblait pas comprendre que désormais, elle était la seule personne qu’il connaissait. Enfin, elle ne pouvait pas comprendre, il n’avait rien expliqué, seulement quelque sous-entendu, mais la jeune fille était beaucoup trop obnubiler par sa personne pour se soucier du mal des autres.
Il finit par s’endormir, mais se réveilla peu après, son sommeil était rempli de songe et de cauchemar, pour un jeune homme qui n’avait jamais quitté sa ville et le giron maternel, se retrouver seule, en pleine nature, avait de quoi dérangé. Il appréhendait aussi le futur, finirait-il par se rendre chez les Croisés? Ou engraisserait-il la terre de son corps…
Il n’eut de sommeil que se qu’il fallait pour une journée remplit, sans plus.
Il sortit du Caravansérail après avoir mangé un peu et avoir payé se qu’il devait pour cette nuit. Liane était déjà présente et contrairement à se que voulais dire les paroles de la jeune fille, il n’avait aucunement eu un bon sommeil, malgré qu’il avait assez dormi pour ne pas être fatigué. Il ne répondit pas à la jeune fille préférant aller seller sa jument, il lui parla par quelque sifflement et enfin finit, il se dirigea vers la sortit.
- Il faut passer au marché pour acheter quelque ration, au cas où nous devions rester plus longtemps, autant ne pas perde de temps et se rendre le plus rapidement possible à la cache. Nous ne pouvons savoir le temps que va nous prendre la mort des Kobolds, encore moins le temps pour les charrettes de revenir ici…
Sa voix était ferme et beaucoup plus froide qu’a son habitude, dans ses pensés nocturnes, il avait prit une décision, peu importe se que pourrait penser sa compagne de route, il allait se murer face aux autres. Il était seul, comme elle le sous entendait si bien, aucun clan, aucune personne de connue, seule, avec sa jument et il ferait tout pour survivre dans se monde qu’on lui avait obliger de voir!
Avait-il bien fait de parler comme il l’avait fait? Selon la jeune fille, non, mais pour lui, cela avait été une façon de se libérer. Lui dire la vérité lui avait fait un bien fou, mais avait heurté la jeune Kastaanaise, parce que elle ne se rendait pas compte de se qu’elle était, ou parce qu’elle s’en rendait compte? Des questions auxquels il n’aurait aucune réponse, probablement…
Est-ce que la bonté passait par cette voie, dire la vérité dans un monde ou la vérité est tue, heurter l’âme des hommes, la chose la plus fragile qu’il avait et s’en faire des ennemies? Décidément, il aurait mieux fait de rester à son premier plan, se suicider simplement, cela démontrerais certainement sa lâcheté, mais le libèrerais, à quoi bon continuer. La soif d’aventure, il n’en avait pas vraiment, découvrir de nouvelle ville, paysage, terre, non plus. Il avait été forcé de partir, il ne l’avait jamais voulu, contrairement à cette petite noble hautaine, il devait accepter le fait de devoir vivre comme un miséreux, ou plutôt, comme un mercenaire, peut-être aimerait-il cette vie au final.
La tutoyer, et puis quoi encore? Cela fessait quelque jour qu’il chevauchait ensemble et elle ne semblait pas comprendre que désormais, elle était la seule personne qu’il connaissait. Enfin, elle ne pouvait pas comprendre, il n’avait rien expliqué, seulement quelque sous-entendu, mais la jeune fille était beaucoup trop obnubiler par sa personne pour se soucier du mal des autres.
Il finit par s’endormir, mais se réveilla peu après, son sommeil était rempli de songe et de cauchemar, pour un jeune homme qui n’avait jamais quitté sa ville et le giron maternel, se retrouver seule, en pleine nature, avait de quoi dérangé. Il appréhendait aussi le futur, finirait-il par se rendre chez les Croisés? Ou engraisserait-il la terre de son corps…
Il n’eut de sommeil que se qu’il fallait pour une journée remplit, sans plus.
Il sortit du Caravansérail après avoir mangé un peu et avoir payé se qu’il devait pour cette nuit. Liane était déjà présente et contrairement à se que voulais dire les paroles de la jeune fille, il n’avait aucunement eu un bon sommeil, malgré qu’il avait assez dormi pour ne pas être fatigué. Il ne répondit pas à la jeune fille préférant aller seller sa jument, il lui parla par quelque sifflement et enfin finit, il se dirigea vers la sortit.
- Il faut passer au marché pour acheter quelque ration, au cas où nous devions rester plus longtemps, autant ne pas perde de temps et se rendre le plus rapidement possible à la cache. Nous ne pouvons savoir le temps que va nous prendre la mort des Kobolds, encore moins le temps pour les charrettes de revenir ici…
Sa voix était ferme et beaucoup plus froide qu’a son habitude, dans ses pensés nocturnes, il avait prit une décision, peu importe se que pourrait penser sa compagne de route, il allait se murer face aux autres. Il était seul, comme elle le sous entendait si bien, aucun clan, aucune personne de connue, seule, avec sa jument et il ferait tout pour survivre dans se monde qu’on lui avait obliger de voir!
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Re: Le Début de l'Épopé
Liane Brisbach d'Aumont Lun 23 Mai - 17:23
- Liane hocha la tête et se hissa sur sa monture alors que son compagnon harnachait la sienne. Elle se lança au pas en direction de la porte et l'attendit à l'éxtérieur. Cette fois-ci, elle avait revêtu ses armes. Elle ne tenait pas à perdre son temps à la nuit tombée pour affronter les guerriers Kobolds. Cependant, vu l'heure matinale, il était peu probable qu'une seule échoppe soit ouverte. Aussi prirent-ils le temps de flaner un peu, jusqu'à huit heures, le temps que les premiers fermiers arrivent avec leurs productions. Ainsi, alors qu'ils erraient dans les rues de la ville, vers sept heure du matin; ils furent apostrophés par une patrouille de gardes.
- [Gardes] Hola cavaliers ! C'est de vous dont on parle pour arrêter ces Kobolds non ?
- [L. Brisbach] Exact. En quoi peut-on vous servir ?
- [Garde] La Garde aurait peut-être besoin de vos services. Présentez-vous à la Caserne dans deux heures et demandez le Shériff MacGuire. Il vous fournira tout les détails.
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